Malgré un horizon qui s’assombrit, le marché de l’immobilier est toujours dynamique et la pierre reste perçue comme une valeur refuge pour de nombreux ménages en France. La part des transactions immobilières destinées à un investissement locatif a ainsi dépassé la barre des 30% en 2021. Par ailleurs, la chute des mises en construction de logements neufs et la demande locative qui résiste maintiennent en tension le marché immobilier, synonyme de prix toujours élevés. Toutefois pour les investisseurs, les barrières à surmonter sont de plus en plus nombreuses pour passer d’un projet de location à la réalité d’un investissement rentable.
Dans cet article, nous partageons les dernières tendances du marché de l’investissement locatif et nous dévoilons les avantages des Tiny Houses et studios de jardin comme solution d’investissement, flexible et durable.
Un accès au crédit de plus en plus compliqué :
Il est encore difficile d’évaluer les effets qu’aura la remontée des taux de crédit sur les prix du foncier, mais certains signaux semblent indiquer une baisse prochaine et progressive des prix. Dans tous les cas, la hausse des taux a déjà des conséquences mécaniques sur l’accès à l’emprunt, pourtant déjà durcit depuis début 2022.
D’une part, l’augmentation des taux dégrade la capacité d’emprunt des ménages et d’autre part les établissements bancaires resserrent encore plus leurs critères d’octroi de prêts (âge, niveau d’apport initial, taux d’endettement, situation professionnelle…). Emprunter pour investir dans la pierre devient donc plus difficile encore. La connaissance du marché de l’immobilier, des précédents investissements déjà réussis et un profil solide sont autant d’atouts pour faire aboutir ses projets !
Réglementation : des mesures plus strictes pour encadrer voire interdire la location des logements énergivores.
Au-delà des effets de taux et de prix sur le marché immobilier, d’autres facteurs compliquent l’accès à l’investissement locatif. Le durcissement de la réglementation pour mettre un logement en location en est la preuve. Ces règles qui visent avant tout les passoires thermiques, doivent permettre d’améliorer les performances énergétiques ainsi que le confort d’été et d’hiver des logements. Sans travaux de rénovation ciblés, ce sont des millions de biens qui pourraient à terme être exclus du marché locatif.
Les 1ères mesures sont d’ailleurs déjà effectives. Depuis Août 2022, il est interdit pour les propriétaires bailleurs d’augmenter les loyers des logements dont la performance énergétique est étiquetée F ou G . Ensuite, à partir de début 2023 et progressivement, ce sont les logements les plus énergivores qui seront tout simplement interdits à la location (dans l’ordre chronologique, les étiquettes G, F puis E, issues des diagnostics de performance énergétique).
Des charges fixes toujours plus hautes et des loyers encadrés qui rognent la rentabilité :
Une autre tendance de fond se dessine avec la dégradation de la rentabilité des logements en location. Plusieurs facteurs en sont la cause. En premier lieu, il est observé ces dernières années une augmentation constante des charges de copropriété, destinées au fonctionnement, à l’entretien et à l’amélioration des copropriétés. Ces hausses s’expliquent par plusieurs raisons ; des copropriétés qui se dégradent, avec en contrepartie une répercussion sur les contrats d’assurance et les contrats d’entretien, des travaux importants à budgéter ou encore des frais de syndic qui s’envolent… Ces frais supplémentaires impactent alors négativement la rentabilité des biens locatifs.
En parallèle, il convient également d’anticiper les hausses probables de la taxe foncière (redevable par les propriétaires), en répercussion de la suppression définitive de la taxe d’habitation pour l’ensemble des ménages.
Enfin, la mise en place de l’encadrement des loyers par certaines agglomérations (Paris, Lyon…) pour contenir le prix des loyers et les abus, peut aussi avoir un impact sur le niveau de rentabilité d’un appartement ou d’une maison en location.
Les Tiny Houses et studios de jardin : des solutions alternatives, durables et rentables.
Si investir dans la pierre semble plus difficile, il reste possible d’investir autrement. Les Tiny Houses et les studios de jardin en sont l’illustration parfaite puisqu’ils sont plus flexibles et durables que les investissements immobiliers traditionnels. La demande pour ce type d’hébergement a d’ailleurs explosé ces dernières années. De plus en plus de particuliers investisseurs y voient une solution pour valoriser leur jardin ou leur terrain et générer un complément de revenu. Les studios de jardin et Tiny Houses sédentaires présentent plusieurs avantages :
- une facilité et une rapidité d’installation : plusieurs modes opératoires existent selon les entreprises qui fabriquent ces équipements ; certains logements sont livrés en kit et assemblés sur site quand d’autres sont fabriqués entièrement en atelier pour être livrés clé en main sur place. Pour l’installation, tant que l’emprise au sol ne dépasse pas 20 m², aucun permis de construire n’est demandé. Une déclaration préalable de travaux suffit et doit être déposée en mairie.
- un coût moins élevé qu’une extension de maison en dur : le secteur du BTP n’est pas épargné non plus par la hausse des prix et les pénuries de matériaux. Dès lors, les constructions écologiques, à base d’une ossature bois et de matériaux biosourcés, sont une solution avantageuse pour construire moins cher et plus vite, sans dégrader la qualité.
- l’absence de frais de notaire et de taxe foncière : une Tiny House ou un studio de jardin n’est pas considéré comme un bien immobilier classique. Par conséquent, aucun passage chez le notaire n’est nécessaire et aucun frais de transaction ne sont à régler au moment de l’achat. La taxe foncière n’est pas applicable non plus à ce type de construction.
Si vous souhaitez investir autrement, en équipant votre jardin ou votre terrain, notre Tiny House confortable et robuste, la STUGA, est conçue comme un espace d’accueil indépendant pour générer un complément de revenu.